Pour écouter une vidéo informatique animée à propos de la nymphoplastie (anglais seulement), cliquez ici.
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Elle fait appel à toutes les personnes qui souhaitent améliorer la condition et l’apparence de la région intime. Il existe différentes interventions de chirurgie intime féminine. Par exemple, la nymphoplastie permet la réduction des petites lèvres vaginales, qui peuvent être hypertrophiées ou asymétriques. Il arrive également que les petites lèvres soient atrophiées. Chez certaines femmes, les traits congénitaux des petites lèvres démontrent une hypertrophie. Il s’agit d’un trait tout à fait naturel. Généralement, cela ne constitue pas une gêne d’un point de vue esthétique et fonctionnel. Toutefois, si l’hypertrophie est importante, elle peut causer des désagréments. Ce développement excessif des lèvres amène la femme à devoir porter une attention plus particulière à son hygiène et participe parfois à créer un inconfort lors des activités physiques pratiquées, par exemple, le vélo. Elle peut même représenter un obstacle psychique pour la vie sexuelle. Il est important de savoir que l’habitude développée par de nombreuses femmes, soit le rasage généralisé dans cette région, accentue l’apparence de ces traits et risque de les incommoder davantage. On remarque également qu’après l’accouchement, les femmes peuvent développer une hypertrophie des petites lèvres (+/- relaxation vaginale). Évidemment, d’autres variations anatomiques peuvent exister et selon les cas, elles peuvent être traitées.
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La nymphoplastie : il s’agit d’une réduction de l'excédent ou d’une asymétrie des petites lèvres. Dans un cas comme celui-ci, une excision conservatrice est pratiquée à des fins esthétiques, mais aussi afin d’accroître le confort de la femme. Excision du capuchon clitoridien : ce capuchon du clitoris, aussi appelé « prépuce clitoridien », est un excédent cutané qui se trouve par-dessus le clitoris. Sa présence peut être gênante. Cette excision permet la réduction de cet excédent cutané.
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L’engouement est grandissant pour ce type de chirurgies. Cependant, toutes les chirurgies comportent des risques. À court terme, les principaux risquent sont le saignement et l’infection. À plus long terme, une cicatrisation excessive peut causer des imperfections au niveau des régions traitées et donner naissance à des douleurs lors des relations sexuelles. Assurément, une correction conservatrice, bien exécutée, évite les complications possibles.
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La chirurgie intime n’est pas contre-indiquée lorsque la femme est enceinte. Par ailleurs, puisque d’importants changements surviennent dans la région intime à la suite de la grossesse, il est préférable d’effectuer cette chirurgie après l’accouchement.
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Après ce type de chirurgie, la femme est en arrêt de travail pour une durée allant de 5 à 7 jours. Quant à l’activité physique, on suggère de façon générale d’attendre 2 semaines avant la reprise. La clé réside dans le respect de son seuil de tolérance à la douleur. En ce qui concerne les relations intimes, il est indiqué d’attendre de 3 à 4 semaines.
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Dans un premier temps, après ses besoins, il est essentiel de nettoyer et de rincer, sous la douche, la région opérée. De plus, il faut appliquer une crème antibiotique 3 fois par jours ainsi qu’après chaque rinçage. Il est conseillé d’utiliser une serviette sanitaire comme pansement.
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Une cicatrice ne disparait jamais, cependant son apparence s’améliore beaucoup avec le temps et dans certains cas, elle peut devenir pratiquement imperceptible.