Quand la visio mène au bistouri
« On voyait que l’engouement pour la médecine esthétique et les injectables, les soins et la chirurgie ont récupéré et même dépassé le taux de base qu’on voyait d’habitude, confirme le Dr Jacques Haddad, qui a bel et bien observé cette tendance dans sa clinique de Sherbrooke. Après le premier confinement, le téléphone s’est mis à sonner de nouveau. Et à ne pas dérougir. On se questionnait : "Qu’est-ce qui se passe? Pourquoi ça fait ça?" »